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A mis dos comentaristas desconocidos, que me arrancaron dos inmensas sonrisas de forma absolutamente inesperada. \n\n \n\n Lo primero que me vino a la mente al ver que tenía dos comentarios era el pensar.... ay madre! alguien me va a poner en mi sitio por andar molestando en La Comunidad de "El País"... Y, ya me llegará... pero mientras tanto lo que me encontré fue a Alejandra y a Alvaro que sin conocerlos de alguna forma les hice reaccionar, además de algún email que he recibido por ahí que también me lo transmite. Y pienso... si además de las sonrisas que este reciente blog me está aportando, soy capaz de arrancar una sola a un solo visitante, guauuuu....\n\n Bueno, pues para Alejandra y para Alvaro en especial, la letra de la canción, para cuando la escucheis en vuestros viajes, en el coche, en la bici, sobre los roller, en el tren, caminando, corriendo o simplemente soñando... Si eso del francés no es vuestro fuerte, sonreid porque tras escucharla y canturrearla un par de veces parecereis de la mismísima Avenue Montaigne ...\n\n \n\n Si un jour, tu croises au hasard\nCelui du tout début de l'histoire\nCelui que je croise dans mes miroirs\nQui reste avec moi même quand je pars\nLes mots promis et les malentendus\nSe gorger d'eau mais qu'on a pas vus\nLes mots d'absence épinglés, pendus\nAux lèvres qui se sont tues\nDis-lui\nDis-lui tous ces mots qui nous lient\nLes mots qui fuient et les non-dits\nOh... Dis-le lui\nDis-lui\nDis-lui qu'au long des longues nuits\nIls font mal encore aujourd'hui\nOh... Dis-le lui\nCe que l'on ose même à demi\nMême les derniers, et même les maudits\nCe que l'on peint ou que l'on crie\nEt qui soudain qu'on a privé de vie\nLes mots de nos jardins d'hier\nAbandonnés aux vents de poussière\nLes mots lancés, faisceaux de verre\nAu cœur océan d'un pair\nDis-lui\nDis-lui qu'il fut mon seul abri\nDans le silence, contre l'oubli\nOh... Dis-le lui\nDis-lui le coût de ma peine\nEt le mal que j'ai eu\nDis-lui ces moments de haine,\nMais qu'il n'a jamais su\nDis-lui mes attentes veines\nEt tout ce que j'ai cru\nTous ces rois, toutes ces reines\nQui ne sont jamais venus\nDis-lui\nDis-lui tous les mots qui nous lient\nLes mots qui fuient et les non-dits\nOh... Dis-le lui\nDis-lui qu'au long des longues nuits\nIls font mal encore aujourd'hui\nOh... Dis-le lui\nDis-lui\n\n\n
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